vendredi 26 août 2011

Misy mampihomehy indray


Mahavariana ny zava-misy eto amintsika an !

Hay moa ity toerana ahitana ny Lapan’ny tanànan’Antananarivo, etsy Analakely, ka nisy fotoanany, mbola nangadihady be tahaka ny hita amin’izao sary izao….



Ary tsy hoe babangoana fotsiny fa toerana fanaovan’ny olona ny tsy fanao mihitsy angamba, matoa nahitana izao soratra izao hihihi


Eto Antananarivo dia feno soratra tahakan’io. Enga anie mba hadio ihany ny olona e. Marina fa ny olombelona tsy akoho an, saingy aleo ihany mandeha amin’ny toerana efa natokana ho an’izany e !

Izay indray ny amin’iny fa samia tsara isika an ! 


La santé des yeux par l’alimentation

La baisse de l’acuité visuelle est sans doute liée à l’âge, mais elle peut être retardée grâce à une alimentation spécifique. 


On ne le dira jamais assez : mangez de la carotte pour avoir de bons yeux hihihi

Plus sérieusement, l’acuité visuelle est garantie par une zone située au centre de la rétine, appelée macula. La vision devient de plus en plus floue lorsque cette zone se détériore. Il reste la vision périphérique qui évite la cécité totale.

Robert Von Veer, dans son ouvrage intitulé La santé des yeux par la nature, réunit diverses pathologies de l’œil ainsi que la prévention par une nutrition saine.

Pour prévenir la DMLA, ou la dégénérescence maculaire liée à l’âge, il est possible de modifier son alimentation. En privilégiant la nourriture riche en antioxydants, et en mangeant des baies : fraises, framboises, myrtilles, cerises, miam miam ! Bien entendu, fruits et légumes sont à introduire dans l’alimentation habituelle.

Photo
Les facteurs de risques de la DMLA

En premier lieu, l’âge (quelle injustice !) : à partir de 50 ans (snif snif), la DMLA menace les individus. Il y a également la santé globale à considérer : une tension artérielle élevée ou un taux de cholestérol élevé également favorisent la baisse de l’acuité visuelle.

Toujours sur ce point, les risques de DMLA sont accrus si le sujet a des problèmes cardiaques (crise d’angine, infarctus du myocarde ou accident vasculo-cérébral).

Par ailleurs, il faut tenir compte des antécédents familiaux ainsi que d’autres problèmes oculaires tels que la myopie prononcée, ou encore l’hypermétropie.

Enfin, le tabac (la cigarette) augmente de 2 à 3 fois les risques de DMLA !

Source photo

La myrtille utile aux pilotes de la 2nde guerre mondiale

"Durant la guerre 39-45, les pilotes de la Royal Air Force découvrirent que la myrtille améliorait leur acuité visuelle, en particulier la nuit. Avant leur mission nocturne, ils consommaient donc de la ... confiture de myrtille.

Intrigués par les rapports des pilotes, plusieurs scientifiques analysèrent la myrtille et découvrirent que
celle-ci contenait en effet des éléments susceptibles d’améliorer la vision : les anthocyanosides, qui sont de puissants antioxydants.  

Des études préliminaires tendent à confirmer ce que les pilotes de la RAF avait observé, mais d’autres ont été moins concluantes.
Néanmoins, il y a suffisamment de données positives pour que les scientifiques poursuivent leurs recherches sur la myrtille.

Notez d’ailleurs que, suite aux recherches européennes montrant que la myrtille peut améliorer la vision nocturne et l’ajustement à la lumière intense, les Japonais l’ont surnommé le “fruit de la vue”.

Au Japon ou en Corée, la myrtille est populaire comme remède pour soulager la fatigue oculaire liée au travail prolongé à l’ordinateur.

La raison ? Les anthocyanosides de la myrtille semblent améliorer la circulation dans les capillaires de la rétine. Ils favoriseraient aussi la régénération d’une substance appelée “rhodopsine” ou pourpre rétinien qui augmente l’acuité visuelle globale. 

Tout indique que ces antioxydants ont une affinité particulière avec l’œil"
(La Santé des yeux par la nature, Robert Von Veer)

En résumé, que faut-il manger ?

Des baies de couleur foncée : framboise, myrtille, raisins, prunes, groseilles rouges ou noires, qui contiennent des anthocyanosides.

Faites le plein de bétacarotène (provitamine A) : carotte, épinard, chou, brocoli, tomate

Soulagez votre fatigue visuelle en consommant de la lutéine à travers les brocolis, épinards, la laitue romaine, maïs, jaune d’œuf, mangue, carotte, j’ajouterai aussi la papaye

Ajoutez de la zéaxanthine en consommant aussi du poivron, des oranges, toujours pour soulager la fatigue visuelle.

A noter que les omega-3 sont des aliments à privilégier aussi.....

Et bien entendu, portez des lunettes de soleil adaptées, c’est – à –dire de coloris jaune ou ambre, afin de protèger votre rétine en filtrant les rayons ultra-violets (UV) et bleus.



jeudi 25 août 2011

Fossa b. Du nouveau pour la rentrée

Chose promise, chose due : voici du nouveau chez nos amis du Fossa b. !

Amateurs de musique musclée, de saxo et d’ambiance électrique, vous pourrez vous immerger, en live, dès la rentrée. Veinards !

Les 15, 16 et 17 septembre 2011, le Palais Mascotte à Genève sera le lieu de rendez-vous de l’électro-jazz, chaud et vibrant de Fossa b.

Les compositions sont à l’image du groupe : cosmopolites et passionnées. Des titres de rêve, aussi : Green House, Oktober Song, Sunday in Genève, Vision of a Dream, Aiza, …. A savourer directement, ICI

Bien entendu il y a une différence entre la version studio et le live, par exemple pour Green House…

Et pour finir, une petite rectification s’impose, puisque ma mémoire m’a trahie : c’est le groupe Fossa b. qui s’est produit durant le Madajazzcar en 2009. La création de Fossa b. s’est faite petit à petit, avec d’ailleurs une rencontre importante durant ce fameux Madajazzcar. A lire toujours sur Mx3

Un album, d’autres live, d’autres activités avec Papa Rojas, sans oublier nNProject…. D’ici la fin de l’année, ces musiciens talentueux (Miasy, Olivier, Alain, Simon, Marco, Yves) nous promettent d’autres merveilles ! 


mercredi 24 août 2011

Jorge Luis Borges

J’aime bien Google comme page d’accueil : aujourd’hui ce moteur de recherche rappelle le 112ème anniversaire de Jorge Luis Borges.
Que dire de cet admirable auteur, qui n’ait déjà été écrit ? Il suffit de commencer un de ses textes pour se laisser emporter jusqu’au point final, sans comprendre vraiment comment la magie a opéré. Des œuvres à déguster, et à méditer. 

Borges photographié par Grete Stern en 1951
Pour ma part, j’ai la joie de pouvoir savourer  le recueil de nouvelles intitulé L’Aleph, traduit de l’espagnol par Roger Caillois et René L.-F.Durand. 
Roger Caillois présente d’ailleurs ce recueil comme étant celui "de la maturité de Borges conteur. (…) Les nouvelles de L’Aleph sont (…) plus concrètes. (…) Toutes comportent l’élément de symétrie fondamentale, où j’aperçois pour ma part le ressort ultime de l’art de Borges." Et de préciser que ces nouvelles ont paru pour la première fois en Argentine entre 1947 et 1952.
L’Aleph, publié par Gallimard
Un destin étonnant, une personnalité attachante 
En 1955, bien que devenu progressivement aveugle, Jorge Luis Borges a continué à écrire. Il a même énormément voyagé depuis cette époque, selon ses propos. Ci- après un large extrait de l’interview réalisée en 2001 par Ramón Chao pour le Monde diplomatique. Pour encore apprécier le langage direct, agréable et subjugantde Borges. 

Un entretien inédit avec Jorge Luis Borges
« L’idée de frontières et de nations me paraît absurde »

Considéré comme l’un des plus grands écrivains du XXe siècle, Jorge Luis Borges, mort en 1986 à l’âge de quatre-vingt-sept ans, était un homme d’une culture stupéfiante et d’une érudition prodigieuse. Aveugle, il n’a jamais écrit de roman, simplement des contes et des nouvelles, genres littéraires dont il reste le maître incontesté. Il est le créateur de quelques-uns des grands mythes littéraires contemporains, comme celui de la « bibliothèque de Babel ». Au travers de fantastiques jeux de miroirs, d’énigmes vertigineuses, de voyages imaginaires dans les labyrinthes obsédants de la mémoire et du temps, ses récits fascinants balayent tout le champ de la spéculation humaine.
Grand voyageur malgré sa cécité, Borges a souvent visité Paris. Son lieu de prédilection pour y loger, avec sa compagne Maria Kodama, était le célèbre Hôtel, rue des Beaux-Arts, haut lieu du dandysme, où séjournèrent longtemps Pierre Loti et Oscar Wilde qui y mourut seul et ruiné. C’est dans la pénombre d’une chambre de cet établissement mythique que, en avril 1978, eut lieu la rencontre avec le vieux sphinx Jorge Luis Borges, l’Argentin universel.
Par Ramón Chao

Bonjour, monsieur Borges. Je vous remercie de me recevoir.

Appelez-moi Borges, tout court. J’ai presque quatre-vingts ans. Tous mes amis ont disparu. Lorsque je pense à eux, je pense à des fantômes. Nous sommes tous des fantômes, n’est-ce pas ? En 1955, j’ai perdu la vue et je ne lis plus les journaux. Je n’ai pas souvent l’occasion de parler avec des gens. Aussi, quand j’ai une interview, je remercie mon interlocuteur. Mais je le préviens toujours : je suis trop catégorique, parfois même désagréable. C’est peut-être une réaction contre ma timidité, car je ne suis jamais sûr de ce que je dis. Quand j’affirme quelque chose, je ne fais qu’avancer une possibilité. Je propose donc, avant de commencer, que nous émettions quelques locutions de doute, comme « peut-être », « probablement », « il n’est pas impossible que », etc. Le lecteur les placera lorsqu’il le croira opportun.

Pouvez-vous mettre un visage sur une voix ?

Non ; je n’ai pas besoin de le faire. Un penseur anglais disait que toutes les idées, tous les sentiments pouvaient être exprimés par la parole. J’aurais préféré conserver la vue, mais la voix est si personnelle que le fait de ne pas vous voir n’a pas beaucoup d’importance. Il y a une affinité entre les personnes, difficile à expliquer. Mes rapports avec les objets sont plus problématiques, car les objets ne parlent pas. Je ne peux que les toucher. J’aurais dû être sculpteur. Bien sûr, je préférerais vous voir, mais je dois chercher des arguments pour supporter ma cécité, n’est-ce pas ? Autrement je me prendrais en pitié, ce qui est détestable. Bernard Shaw disait que la pitié dégrade autant celui qui s’apitoie que celui qui est pitoyable.

Ce stoïcisme est-il dû à votre situation personnelle ou à l’héritage de vos ancêtres ? Vous descendez d’une famille de militaires. Très courageux, bien entendu.

Mon grand-père, le général Borges, est mort en 1874, au cours d’une bataille contre les Indiens. Son avant-garde décimée, il est resté tout seul sur son cheval blanc. Il s’est avancé au trot vers l’ennemi, qui l’a troué de balles. Cela dit, il n’y a aucune raison de supposer qu’un militaire est courageux. Un individu qui passe sa vie de caserne en caserne pour obtenir de l’avancement et qui étudie la stratégie n’a pas besoin d’être courageux. Et bien sûr, il n’est pas préparé pour gouverner. L’idée de commander et d’être obéi est le propre d’une mentalité infantile. Cela explique que les dictateurs soient des gens immatures.

C’est curieux. Avec votre généalogie de guerres et de violences, vous êtes quelqu’un de pacifique, vous détestez la violence et vous mettez des conditionnels dans toutes les phrases. Est-ce pour cela que vous vous défoulez dans votre œuvre, faite de crimes, de duels et de trahisons ?

Je n’y avais jamais pensé. Il est possible que je sois, en quelque sorte, la mémoire de mes aïeux. Il se peut qu’à travers moi ils essayent d’effacer leurs vies de guerres et de violences.

Quand avez-vous pensé devenir écrivain ?

Depuis toujours. J’avais trois ou quatre ans quand j’ai commencé à écrire. Mon père, psychologue anarchiste, m’a révélé la valeur de la poésie, le fait que les mots ne sont pas simplement des moyens de communication, mais des sons musicaux, magiques et complexes. J’avais déjà vingt-quatre ans et il me conseillait de continuer à lire, de ne pas écrire jusqu’à ce que j’en aie vraiment besoin. Et surtout, de ne pas me hâter de publier. Lui-même avait écrit un roman, qu’il n’a jamais édité. Au fond, je suis devenu écrivain parce que c’était sa vocation à lui et qu’il n’avait pas réussi. J’ai suivi tous ses conseils. Je le dis avec une certaine nostalgie car, depuis 1955, ma cécité m’empêche de lire. Cette année-là se sont produites deux choses capitales dans ma vie : on m’a nommé directeur de la Bibliothèque nationale de Buenos Aires, et, presque simultanément, je suis devenu aveugle. Deux cent mille volumes à portée de ma main... sans que je puisse les lire.

Vous avez réalisé la vocation de votre père, mais pas complètement. Votre père était dans l’erreur. Vous le reconnaissez vous-même lorsque, dans la préface de Fictions, vous écrivez qu’il est vain de vouloir développer en cinq cents pages ce qui peut être résumé en vingt ou trente.

En fait, je n’ai pas lu beaucoup de romans. J’ai lu Conrad, Dickens, Dostoïevski, Melville... et Don Quichotte, comme tout le monde. Il serait illogique que n’étant pas un lecteur de romans, j’essaye d’en écrire.

La suite ICI 

Lohamenaka, sady sakafo no fanafody


Maro eto amintsika ny zavamaniry anamboarana lohamenaka na "huile essentielle". 

Mahasoa tokoa ireny an, azo ampiasaina amin’ny fitsaboana na koa amin’ny fandrahoana sakafo. Kanefa, mila fitandremana ny fikirakirana azy ireny, ka tsara ny mandray torohevitra amin’ny mpitsabo.

Avy hatrany dia ambara fa matetika ny vehivavy mitondra vohoka sy ny ankizy na ny zazakely dia tsy tsara mampiasa lohamenaka, raha tsy torolalana mazava avy amin’ny mpitsabo. Mahery manko ny singa ao anatin’ny lohamenaka, ka izany no ilàna fitandremana ho an’ireo sokajin’olona ireo.


Raha voapetraka izany rehetra izany, inona ary no azo ambara koa ?

Tsy ampiasaina amin’izao ny lohamenaka noho izy marihitra be. Tsy maintsy afangaro amina menaka avy amin’ny zavamaniry hafa (huile végétale) tahaka ny mena-boanjo na menaka soja fampiasa ao an-trano. Ampiasao koa ny "huile d’amande douce" fa tsara io an.

Atete anaty tantely koa ny lohamenaka raha tahiny ka hohanina. In-3 mitete no matetika atoron’ny mpitsabo, atao amin’ny tantely iray sotro kely.

Lohamenaka andramena, mampavitrika sady mampitony

Malaza ery ny andramena (bois de rose) avy eto Madagasikara, hay tena maro mpanjifa any an-dafin’ny Riaka any izy io an ! Ary ahazoana lohamenaka manitra sady mahasoa, ankoatra ny fanaka vita avy aminy !

Anisan’ny fahasoavan’ny lohamenaka andramena ohatra, dia mampateza ny hoditra izy io. Manamaina ny fery (cicatrisant) no sady mampihena ny fikentron’ny hoditra (ride). Tanora be izany izay mampiasa azy ? hihihi Mampitony ny toe-panahy mangitakitaka na ny fahakiviana, izany hoe mampilamina sady mampavitrika ny lohamenaka andramena. Hosory eo amin’ny "plexus solaire" dia vita !

Voalaza fa manasitrana kohaka, sery na koa feo mifarina ny lohamenaka andramena. Ao anatin’ny fanasitranana ihany, dia azo itsaboana areti-nify, aretina an-doha na ao an-damosina io lohamenaka io. Tsy ireo ihany akory no ampiasana ny lohamenaka andramena, fa ato pihana  raha te – handalina bebe kokoa ianao :-)


Atao amin’ny sakafo

Tsy mahazatra izany, satria matetika ny "arôme alimentaire" no fampiasantsika amin’ny fahandro, na ilay zavamaniry mivantana : dipoavra, solila, voasary makirana, persily, kotomila, sy ny hafa. Rariny loatra izany, ananantsika ireo koh !

Fa raha mba te – hanandrana tsiron-tsakafo hafa, manisà lohamenaka indray mitete (1 goutte) isaky ny olona misakafo. Raha efatra ny mpiray latabatra, dia in-4 mitete izany no araraka anaty ilay "huile végétale" an.

Inona no lohamenaka azo ampiasaina, ary amin’ny sakafo tahaka ny ahoana ?

Maro tokoa, raha ny ambaran’ny Madagascar Santé Hebdo (gazety Homeopharma) : Menthe poivrée ohatra, azo atao anatin’ny vinaigrette, na mousse au chocolat (miala tsiiiiny amin’ny vary amin’ny akotry !)
Ny lohamenaka voasary makirana, afaka arotsaka mandritra ny fanamboarana mofomamy, na yaourt, andray ! Ao koa ny lohamenaka basilic hoy ny Madagascar Santé Hebdo, afangaro amin’ny laoka akoho, na pâtes, na sauce tomate, izany hoe sakafo masira !

Izay no ela fa dia samia mahita ny soa an ! Maro dia maro ny hevitra azo hiheverana ny sakafo, mba sady hatsiro no ho mahasalama. Miam miam, hoy ny mpankafy :-D



mardi 23 août 2011

Tsy mikoropaka ô


Azo atao tsara ny mandamina fiainana, na dia samy miaiky aza isika mianakavy fa mampitotototo izao vaninandro izao.

Rehefa be ierehana loatra manko isika dia ireo zavadehibe no adino, na atao hoe tsy tsaroana. Toa maika daholo izay atao : maika hanatratra bus e, maika hivory e, maika hisakafo e, sy ny sisa. Maika foana, maika foana ! Oadray !



Mipetraha iray minitra ange e ! Vetivety fotsiny hihihi

Diniho amin’ny saina milamina hoe inona no tena zavadehibe (fa tsy maika an) amin’ny fiainanao ? Na olona izany, na fandaharam-potoana, na anton-draharaha, eny hatramin’ny fitafiana sy ny sakafo ankafizinao aza, samy isaintsaino avokoa.

Dia omeo toerana isan’andro amin’ny fiainanao ireo, satria ireo no zavadehibe ho anao. Raha mpino sy mpivavaka moa ianao, vao maika tsaroanao ny Tompo Andriamanitra, Jesoa Kristy, Tompo sy Mpamonjy :-D

Izaho mihitsy no mpimenomenona amin’ny raharaha mitarazoka : fitohanan’ny fifamoivoizana, fiandrasana olona tsy mari-potoana (edreey, Gasy ka manja io an hihihi), fiandrasana bus, birao mivoha, sns… ankoatra ny fihazakazahana anaty tohatra fa…. maika ô !

Hitako taty aoriana, fa azo atao ary mety mahafinaritra kay ny mitazatazana ny manodidina, rehefa mitohana ny fifamoivoizan’ny fiara (fitafian’ny olona, lokon-danitra, …) na koa azo araraotina hamakiana boky izany fotoana izany. Oadray, ny ankamaroan’ny olona aza efa any anaty bus izao no mifampiantso amin’ny finday, ho avy e, "tsy afa-manoatra fa miraikitra ny amboteazy" hihihi

Izany no fiainan’ny ankamaroa’ny mponina an-tanan-dehibe, eran-tany. Soa fa manana ambanivohitra azo isintahana isika Malagasy an…. Mifanatrika amin’ny omby sy ny akoho amam-borona. Tsy mba be safariny ireny hihihi Tsy dia misy mampirotoroto azy akory ny andavan’androny….

Tsy mpikoropaka ô ! Tsy mikoropaka an !
Sary Doctissimo

Indro mba misy torohay tsotra, ampiharina tsikelikely mba hampitony ny onjam-piainana.

Dia eto ny tohiny....

Dia mirary ny soa indrindra ho antsika jiaby :-)

lundi 22 août 2011

¿Que se come aqui ?

Il est souvent question de nourriture, dans les conversations courantes -et sur ce blog- tant il est vrai que l'être humain doit manger pour vivre !

J'ai personnellement remarqué que les gens grignotent fréquemment des arachides (voanjo) chez nous quand arrive la saison fraîche. On les vend au kapoaka, entre 600 Ar à 700 Ar, encore dans leur pelure rouge. 
Les peler est amusant, balayer les pelures aussi, quand toute la pièce en est parsemée ;-)  

Le kapoaka, c'est la boîte de lait qui trône sur les voanjo ! Elle sert de mesure :-)
Depuis quelques années, il y a une nouveauté tananarivienne, ce sont les huîtres (biiiih ! oui, si je n'aime pas ça, je n'en dégoûte pas les autres hihihi).

Les huîtres vendues en vrac.... 
Ces huîtres-là sont vendues au même titre que les voanjo, à savoir en bordure de route, ou colportées joyeusement, au soleil, sous la pluie, à longueur d'année.  Le vendeur ou la vendeuse les ouvre avec une dextérité admirable !

Gros plan d'une huître fraîche hihihi...beuh
Le client peut assaisonner sa "friandise" avec du vinaigre, au moyen d'une bouteille en plastique prévue à cet effet : le bouchon est perforé ! Renseignements pris, ces huîtres proviennent de Mahajanga, et sont vendues à 200 Ar les quatre.... 


Comme on dit, des goûts et des couleurs.... :-P


Laoka ketsaketsa tsisy hena


Eny tokoa an, laoka tsy misy hena kanefa matsiro ihany. Hihihi 

Inona no ilaina ary ?
Baranjely (aubergines) 3 sahabo eo amin’ny 250gr

Ovy antonony 3

Poivron 1

Tongolo oignon 2, na tongolo gasy hasiny 2 na 3

Sira, menaka,


Ahoana no fahandro ?

 





Tsotra kely ny fahandro. Rehefa voadio tsara ireo legioma rehetra ireo, dia endasina ao am-bilany, anaty menaka kely ny tongolo (na oignon io na tongolo gasy), mbamin’ny poivron voatetika, atao manimanitra tsara.




 
 

Vita izany dia arotsahy koa ny ovy voatetika antonontonony, endaso ho manitra tsara. Ampio sira, tapohy rano mitovy haavo amin’ny ovy, dia aleo hiketrika eo 10 minitra aloha. Ataovy afo mahery, tsy manahy.




 


Rehefa avy eo, arotsahy ny baranjely voatetika, arohirohy hifangaro tsara. Tapohy rano mitovy haavo amin’ny legioma, ataovy afo mahery aloha an. Dia rehefa mangotraka tsara, dia sarony, ary ahenao ny afo. Avelao hiketrika eo 20 minitra, mba hiara-masaka tsara daholo ny legioma.

Hanina amin'ny vary maina na vary sosoa, mety foana io laoka io ! 



Mazotoa homana an !