samedi 12 novembre 2011

Salut, comment vas-tu ?

Les conversations commencent en général par ces quelques mots.

Parfois les gens disent plutôt "ça va ?"Des banalités sont quelquefois échangées, et la discussion dérive souvent (si si !) vers la situation politique (hihihi)

Qu’il s’agisse du pays où l’on vit, ou de la Terre en général, les gens constatent alors (et se plaignent) du malaise ambiant.



A Madagascar, nombre d’intervenants sur les médias (hormis les politiciens :-P) affirment que le retour vers Dieu est la solution à la "crise" locale.

Certes, la foi et l’amour divin, l’amour du prochain démontré par Jésus Christ s’est souvent manifesté dans la simplicité des Malgaches à traverser ces périodes difficiles.

Mais …. Ici comme dans le monde, c’est tout un système qui s’écroule. Faire de la résistance aura comme seul effet de prolonger les mauvaises pratiques.

La religion (les religions) est mal perçue par nombre de gens, quand bien même la foi demeure. Il est vrai qu’à Madagascar (comme bien d’autres pays de ce monde), les religions ont été instrumentalisées. La spiritualité a été tronquée.

Peut-on guérir le monde ?




Transmis par Arcturius le 10 - novembre - 2011

Deepak Chopra, Huffington Post, 24 février 2010
http://www.huffingtonpost.com/

Avant d’aborder la question de l’importance de la spiritualité à notre époque, nous devrions d’abord la définir. La spiritualité est l’expérience de ce domaine de la conscience où nous expérimentons notre universalité. Ce domaine de la conscience est la conscience du cœur qui réside au-delà de notre mental, de notre intellect et notre ego. Dans les religions traditionnelles, cette conscience du cœur s’appelle l’âme, laquelle fait partie d’une âme collective ou d’une conscience collective, qui à son tour fait partie d’un champ plus universel de conscience appelé, dans les religions, Dieu. Lorsque nous avons un aperçu, même partiel, de ce niveau de conscience, nous expérimentons la joie, la perception profonde, l’intuition, la créativité et la liberté de choix. De plus, il y a l’éveil à l’amour, la gentillesse, la compassion, la joie de la réussite des autres et l’équinanimité. Lorsque l’agitation de notre mental s’assagit, notre corps commence aussi à s’auto-guérir parce qu’il s’apaise. Les mécanismes d’autoréparation du corps se mettent en activation lorsque l’esprit est en paix car, au niveau le plus profond, l’esprit et le corps deviennent inséparablement un.

 Toutes les religions sont fondées sur l’expérience spirituelle profonde de l’unité de la conscience où l’union est totale entre le personnel et l’universel. Hélas, bien souvent, les adeptes d’une religion, au lieu de comprendre l’expérience religieuse et de la trouver pour eux-mêmes, finissent par seulement vénérer le fondateur de la religion. Il est plus important de saisir pleinement l’enseignement de la religion et ses principes de base qui sont issus d’une expérience profonde de la transcendance. La moralité bien-pensante n’est pas un moyen pour réaliser l’expérience de la conscience supérieure. La conscience supérieure mène spontanément à une façon d’agir morale et éthique. Mais, parce que la connaissance spirituelle est puissante, les gardiens des religions organisées ont souvent fini par adopter des comportements destructeurs – marchandage du pouvoir, copinage, contrôle, corruption et trafic d’influence. Par conséquent, la religion organisée est devenue souvent querelleuse, semeuse de discordes et entraina des conflits. Aucune religion organisée n’a été capable de s’immuniser contre cette tendance malheureuse. Ainsi, nous avons eu les croisades et les chasses aux sorcières de la Chrétienté, les Djihads de l’Islam, les violentes émeutes communautaires à l’instigation des Hindous fondamentalistes et les persécutions des minorités ainsi que les nettoyages ethniques, tous perpétrés au nom de Dieu.

Notre époque actuelle est particulièrement dangereuse parce que les anciennes habitudes combinées à des capacités et des technologies destructrices représentent une combinaison dévastatrice capable de détruire la vie sur notre planète.

Tandis que nous commençons à avoir une compréhension plus scientifique de notre niveau d’existence transcendantal et examinons les principes de base de toutes les religions, nous comprenons que l’expérience spirituelle est fondamentale pour tous et similaire à tous. Cette expérience peut être vécue par tous dans la pratique de la méditation, la prière, la recherche de soi par la contemplation, l’expression de l’amour et la compassion dans l’action, la recherche intellectuelle du sens profond de la vie et le service désintéressé. Par ces pratiques, nous commençons à réaliser que la conscience est un champ d’infinies possibilités ; qu’elle est omniprésente, omnipotente, omnisciente et infiniment créatrice. Cette expérience conduit également à l’amour inconditionnel et à la compassion. Etre en contact avec notre soi profond est donc de la plus haute importance car c’est notre connexion au mystère de ce que nous appelons Dieu.

Comme l’a dit le Sufi mystique Rumi, « Vous n’êtes pas simplement une goutte dans l’océan, vous êtes aussi le puissant océan dans la goutte» [NdT : la citation exacte est : Ne sois pas une goutte – fais de toi-même un océan » voir (1)] . S’il y a quelque chose qui, en ce moment, guérira notre planète blessée de ses énormes problèmes d’injustice sociale, des ravages écologiques, de disparités économiques extrêmes, des guerres, des conflits et du terrorisme, c’est l’expérimentation de la compréhension et de la connaissance de notre propre essence. Avec cette compréhension profonde et ce dialogue entre confessions différentes qui recherche nos points communs plutôt que nos différences, nous avons l’opportunité de résoudre les problèmes du monde, de nous occuper de ses inégalités et de nous guérir. Le terme « guérison » et les termes « saint » et « ensemble » veulent tous dire la même chose. Guérir est avoir le retour de la mémoire de ce que nous sommes vraiment. Lorsque nous retournerons à notre source sainte, le monde sera sacré et il sera guéri.

(1) : http://consciencesansobjet.blogspot.com/2011/01/rumi-ou-mevlana-djalal-ad-din-rumi.html

http://stevebeckow.com/
Traduit par Nicole pour LaPresseGalactique.com


Tous droits réservés pour tous pays.
Merci de citer vos sources.
Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces textes.

Vous avez un Libre Arbitre, alors servez vous s’en!

Bonne réflexion sur le sujet :-)


vendredi 11 novembre 2011

Zavaboarin'Andriamanitra tokoa

Mahavariana, mahatalanjona, eny mahafinaritra ireo biby sy zavamananaina namantsika :-D

Jereo ange ny hakanton’ny jacarandas mamelana e !



Indro izao lolo be tetika : mitodika miankavanana (ambany) ny lohany eto kanefa toa mitodika miankavia no fijery azy !


Toy izao no endriny rehefa somary mamelatra ny elany, ery ankavia indray ny lohany an ! 



Ity maritaina ity indray dia nitsambikimbikina tao anaty ahitra : hay misambo-balala ! hihihi Nataony telimoka dia iny izy no nisidina ! andray !



Fa ireto fangaraka (sa takola-panenitra ?) koa no mahita hevitra manorina akany mitsingilahila ! Mahagaga an !




Izay indray ny androany. Tsetsatsetsa tsy aritra mikasika ny hakanton’ny zavaboarin’Andriamanitra





Samia soa, samia tsara !
  

jeudi 10 novembre 2011

La Bible en bande dessinée

La BD ou bande dessinée au service de l’Evangile, qui l’eût cru, il y a un siècle ?

La BD a souvent été reléguée (même actuellement) par certaines catégories de personnes comme un divertissement destiné aux enfants. Ce n’est pas vrai, ce n’est pas vrai ! hihihi

Les éducateurs ont pourtant saisi rapidement la portée du 9ème Art pour transmettre des connaissances. La condition sine qua non étant bien entendu une solide documentation de base ainsi que le talent indiscutable du scénariste et du dessinateur :-D

L’on peut affirmer aujourd’hui que la Bible en bande dessinée consacre la BD comme canal de communication efficace.
Moïse en couverture de la compilation en couleur
Présentée à l’origine en noir et blanc et par petits recueils séparés, la Bible en bande dessinée a fait récemment l’objet d’une grande compilation colorée.

David terrassant le géant Goliath, 
dans la version en noir et blanc
  
De la Genèse à l’Apocalypse, sur plus de 250 pages, les principaux livres de la Bible sont transcrits en textes et images, sans en ôter la teneur et avec l’enchaînement nécessaire d’un récit. Un documentaire sur la diffusion de la Bible dans le monde termine le recueil.

L’art de la BD prend toute son ampleur dans le dessin en noir et blanc : cadrage, formes, reliefs, avant-plan, décors, se distinguent par le savoir –faire du dessinateur. L’emplacement des bulles (dialogue) s’intègre entièrement dans l’œuvre. La couleur complète le tout .... 

Appréciez ! :-D

Adam et Eve (Genèse) dans le jardin d’Eden
   Différents dessinateurs ont mis leur talent au service de la transcription en BD de la Bible...
 
Jésus Christ et Pierre
Admirez le rendu des drapés, le dessin parfait des mains...
 
Barnabas et Paul, converti, se rendent chez Pierre
  
Conversation entre Pierre et Paul
Une des rencontres que j'adore, Pierre l'humble pêcheur et Paul, l'érudit, unis par l'amour du Christ :-)
 
Puisse tout un chacun savourer la Bible à sa juste valeur, quelle qu’en soit la version disponible !

Que cette journée demeure radieuse, paisible et agréable à toutes et à tous :-)




mercredi 9 novembre 2011

Sakafo manampy ny fitadidiana

Misy tokoa ve ny sakafo tena mampavitrika ny fitadidiana ? 

Efa noresahintsika TETO ny ambangovangony amin’ny tokony hampiasan’ny olombelona hatrany ny saina (na ny atidoha). 

Ny lafiny fitadidiana, izay ilaina amin’ny fiainana andavanandro, ary indrindra koa mandritra ny fotoam-pianarana no tiana hamafisina anio.

Ireo izao vary sy laoka (trondro nahandro gasy,slurp !) miampy ro legioma sy lasary laisoa !
Mafilotra sady mahasalama an, mmhhh

Toy ny taova rehetra amin’ny vatan’ny olombelona, dia ampiasaina ny atidoha, omena sakafo sahaza azy, ary koa mba miala sasatra. Tsy misaraka amin’ny ataontsika andavanandro izany.

Ireo mpandinika any an-dafin’ny Riaka dia manamafy ny tombony entin’ny otrikaina amin’ny fahasalaman’ny olombelona. Anisan’ny mahasoa ny fitadidiana koa ireo, ary azontsika avy amin’ny sakafo, na dia atao hoe misy koa indraindray ny fanafody sasany manampy tosika an’izany.

Mila otrikaina, sira mineraly sy tanjaka

Mahagaga an ! " 15 minéraux et oligo-éléments, 8 acides aminés, 13 vitamines et 4 acides gras" no ilain’ny atidoha hoy ny mpandinika (ATO no loharanon-kevitra)

Mba ahatomombana izany dia mila torimaso ampy tsara, sakafo, fanatanjahan-tena ny olombelona.

Legioma maro no eto amintsika ! 

Sakafo ara-dalàna hohanina

Inona moa no tiana ambara ? Mila sakafo ny vatana sy saina, mazava izany. Vary sy laoka, ho antsika Malagasy, dia heverina hoe ampy. Tsia, fa ampio voankazo sy legioma. Soa fa maro karazany ireo eto amintsika an !
  
Ny trondro, dia malaza ery hoe manampy fitadidiana noho ny phosphore ao anatiny. Tsy dia mitombina intsony izany hoy ny mpandinika. Kanefa azo ilaofana hatrany ny trondro noho ny tsirony sy ireo Omega 3 sy Omega 6 ao anatiny e ! Ireo trondron-dranomasina misy menaka no tsara hohanina hoy ny mpahay raha. Ohatra amin’izany ny sardines na ny anchois (miam miam !)

Izao no salady katsaka (maïs doux)
Fanampiny, mahereza mihinana sakafo hafa ahitana ny Vitamine B (mampavitrika ny atidoha io !), toy ny soja(eny tokoa !), ny laisoa isan-karazany (chou – fleur, brocolis). Mihinàna koa ati-kena, hen’omby, ao koa ireo vokatry ny jono tahaka ny makamba (miam !), 

Tsarovy foana koa ny soa azo avy amin’ny ronono sy ireo vokatra azo avy aminy (produits laitiers) tahaka ny yaourts, fromages, dibera, sns.

Hano koa ny papaye fa vokatra be ankehitriny ;-)
Tsy adino ny chocolat, ananantsika io ! Singa maro ao anatiny no mampavitrika ny atidoha : izany théobromine izany, caféine ary phényléthylamine, mpanaitaitra ny fisainana ka manamafy ny fifantohan’ny saina (attention et concentration).


Izay ary no ela fa mazotoa an ! Mirary soa ho anao hatrany :-)


mardi 8 novembre 2011

En exclusivité : dans les coulisses de Fossa B Genève

Du nouveau chez Fossa B ! Ils donnent leur concert à Ono, à Bern jeudi prochain, 10 novembre 2011.

Après son passage durant le Madajazzcar 2009, le groupe Fossa B se fait rare à Madagascar. Le Palais Mascotte de Genève a hébergé pendant 3 jours le groupe en septembre dernier. Malgré un emploi du temps surbooké, Miasy Raoloson, Malagasy band leader du groupe, répond en exclusivité à nos questions (la la lè reuh :-D


Airelle’R : Bonjour Miasy, merci de m’accorder cet entretien, en dépit de ton emploi du temps chargé. A la veille du concert d’Ono, c’est très gentil. Globalement, comment se passe, une journée de musicien ? Combien de temps le groupe peut consacrer aux répétitions ?

Miasy : Ah, une journée de musicien est vachement intensive, en tout cas en ce qui me concerne.
Le matin, il faut se lever très tôt pour aller travailler (rien à voir avec la musique), puis l’après-midi est dedié à la musique (composition,mixage…) et le soir la répétition avec tout le monde.

Airelle’R : Vos morceaux et vos titres sont ébouriffants ! Comment arrive l’inspiration, chez Fossa B ? Est-ce que chaque musicien apporte sa partition, ou comment cela se concrétise ? Et qu’est-ce qui détermine le titre de vos mélodies ?

Miasy : Pour le moment, on joue essentiellement mes compositions. Par contre au niveau arrangements, tout le monde apporte ses idées, Marco par exemple, a composé toutes les lignes de guitare qu’il joue.
J’ai la chance d’avoir des outils qui me permettent de faire de la musique à la maison, du coup à chaque fois que j’ai du temps, je compose, je bidouille… Mais je reste persuadé qu’il n’y a rien de mieux que de jouer en groupe, on partage toujours un grand moment en répétition  !

Miasy : les répétitions en groupe permettent de partager un grand moment (photo Fossa B) 
Airelle’R : On dit de l’art qu’il ne connaît pas de frontières. Fossa B constitue une jolie illustration de cette maxime. Combien de nationalités regroupez –vous ? J’imagine que la langue parlée pendant les répét’ est constituée de français et d’anglais. Mais encore, Papa Rojas (Marco), cela a une forte consonance latino. De l’espagnol, de l’italien ? (hihihi)

Miasy : Effectivement, fossa b. est composé de :  Yves BERTELLE (Suisse Vaudois), Alain ROSET (Suisse Genevois), Marco ROJAS (Espagnol/Paraguayen) et moi. Tout le monde parle le français …

Airelle’R : En tant que Malgache, comment envisages –tu l’évolution de la musique (et des chansons) de chez nous ? Rencontres –tu des musiciens de Madagascar, depuis que tu es à l’étranger ?

Miasy : Je t’avoue que je suis complètement largué par rapport à ce qui se fait à Madagasikara. Je croise de temps en temps de musiciens Malagasy, mais je ne fais pas des projets particuliers avec eux…Je trouve juste que la musique qui vient de notre pays n’ est toujours pas aimée (à sa juste valeur) par le public européen !

Genève (Photo Supercdi)
Airelle’R : Revenons à Fossa B. Qu'est-ce qui est en gestation d'ici la fin de l'année ?

Miasy : Ah oui, je te donne une info exclusive … d’ici la fin de l’année, on va enregistrer un titre de Vahömbey au studio de la SAE Genève (School of Audio Engineering ) et les concerts débuteront mi – février 2012.

Airelle’R :  Super info !! Merci Miasy, à bientôt ! 
Miasy : Merci

Interview de Miasy RAOLOSON (fossa b’s band leader, bassist, composer) pour Airelle’R Communication






NB : Vahömbey sur Airelle'R Communication, à lire ICI ;-)


lundi 7 novembre 2011

Un pti tour et….

Un petit tour à Antananarivo, en deux roues ?

Toutes sortes de moyens de transport animent les routes de la Capitale malgache et de ses alentours. Les scooters, motos, et autres quads se sont intégrés rapidement dans les mœurs tananariviennes .

A deux…
A trois sur le scooter…

Avec des cartons…
  
La moto passe quand les voitures sont bloquées !

Bon amusement ! c’était juste un petit tour… et puis s’en va ! hihihi

Que chaque journée soit faite de joie et de bonne humeur :-)